Couveuse d’initiatives service La permaculture, couveuse d’initiatives

La réflexion fondée sur une recherche d’informations et associée à des actions concrètes engendre des initiatives. Ces dernières largement diffusées peuvent alors changer le monde dans lequel nous vivons.

La permaculture est notamment un exemple de ce fructueux aller-retour incessant entre réflexions et actions.

 “Nous vivons une transition qui doit être extrêmement fertile, entre un système qui décline et un autre qu’il faut reconstruire”

Pierre Rabhi, paysan-philosophe, promoteur de la permaculture et de l’agroécologie. Des expériences de refertilisation du sol sont menées en Ardèche mais aussi en Afrique.

Sous le poids des informations qui nous assaillent, ne nous laissons pas accabler par le fléau de l’impuissance apprise!  Il est évident que nous avons un réel pouvoir sur nos vies et sur notre environnement.

Petit Cocorico! Les Couvinois s’en souviennent avec “La bataille de l’eau Noire”. Elle est racontée dans un documentaire de Benjamin Hennot (Plus d’infos ici).  Professeurs, paysans, avocats, géologues se sont unis dans un même combat. C’est en s’associant et en partant des ressources de chacun qu’ils sont sont parvenus à faire plier les politiques. Grâce à leur détermination et à leur courage, nous profitons aujourd’hui de la beauté et des richesses de nos vallées!

Notre intérêt pour la permaculture

Les deux premiers livres de Pablo Servigne, entre autre, ont créé en nous un sentiment d’urgence: “Nourrir l’Europe en temps de crise” et “Comment tout peut s’effondrer”.

Cette lecture laisse des traces. En effet, on n’est plus pareil après. Fini de se tracasser pour des petites bêtises. Des questions essentielles qu’on avait presqu’oubliées refont surface. Et notamment celle qui a sans doute occupé l’esprit de nos ancêtres:  comment nous garantir une autonomie alimentaire?

Faire des provisions et acheter un fusil pour les protéger? Non! A quoi bon survivre dans une telle jungle? Il s’agit plutôt de construire un projet collectif sur le plan local.

Alors, nous nous sommes mis à rêver que chacun cultive à nouveau son jardin, que des réseaux locaux de production, transformation et vente de produits soient mis en place rapidement. C’est dans ce contexte que nous nous sommes intéressés à la permaculture, d’une part parce qu’elle promet une belle production mais aussi surtout parce qu’elle répare les sols et encourage la biodiversité.

La permaculture, une autre conception de la culture du sol

Un peu partout dans le monde, depuis plus de 50 ans, des personnes passionnées ont commencé à cultiver la terre autrement. Il ne s’agissait plus de l’exploiter comme une chose inerte de laquelle il fallait tirer un maximum de profit, mais plutôt de l’observer et de recevoir ses présents. D’en faire une partenaire! Ils ont découvert l’importance de la biodiversité, le travail inouï de tous les êtres vivants visibles ou non. Ou pour dire vrai, ils ont redécouvert ce que les peuples premiers savaient et exprimaient à leur manière depuis longtemps, notamment en vénérant la terre mère.

C’est donc en observant et en respectant la terre que ces “alternatifs” ont découvert comment il était possible de produire en abondance tout en respectant la vie sous toutes ses formes. Leur but n’est pas de faire un maximum de profit au détriment de la terre. Ils cherchent d’abord à la protéger et à laisser s’y développer la vie de tous les organismes vivants. Par ailleurs, ils sont attentifs à ses besoins et à ceux de ses “occupants” qu’ils nourrissent et protègent.

Harmonie avec son environnement

La permaculture est donc avant tout une manière d’être et de se percevoir fondée sur l’humilité et le respect de toute forme de vie, même microscopique. Elle recherche l’harmonie entre les divers éléments qui constituent les jardins et des fermes. Chaque besoin doit être rempli par plusieurs éléments et chaque élément peut répondre à plusieurs besoins. Une haie diversifiée par exemple comble le besoin d’être protégé du regard des voisins ou des vents dominants. Elle apporte aussi du broyat pour couvrir le sol, un habitat et de la nourriture pour les oiseaux. des fleurs pour les pollinisateurs…  Le sol quant à lui peut être couvert et nourri également par les tontes, les feuilles mortes, les déchets ménagers…

Quand on parle des besoins, il ne s’agit donc pas seulement des besoins humains, mais aussi ceux de la terre et du vivant.

De véritables révolutions sont en train de se produire en silence grâce aux actions quotidiennes de ces hommes et de ces femmes de terrain.

Les précurseurs

Les fondateurs qui ont théorisé ce concept sont deux australiens, Bill Mollison et David Holmgren. En 1980, Gertrud Frank a publié dans “Un jardin sain grâce aux cultures associées” les résultats de ses recherches.

Dans « La révolution d’un seul brin de paille » vous découvrirez  comment Masanobu Fukuoka a transformé radicalement la culture du riz au Japon. Par ailleurs, Monsieur Fukuoka explique aussi dans son ouvrage comment l’importation de blé Américain à bas prix a déstructuré l’agriculture du Japon. Ses méthodes de culture ont été adaptées pour nos régions. Elles ont été diffusées notamment par Claude et Lydia Bourguignon pour l’agriculture. C’est Emilia Hazelip qui les promeut en Angleterre pour les surfaces de culture plus modestes.  Jean-Marie Lespinasse quant à lui les défend en France.

Un chercheur

Nous avons été mis “en appétit” par un article et une vidéo sur Pascal Poot, qui cultive des tomates et autres fruits et légumes sans eau ni pesticide. Le plus surprenant, c’est la qualité de ses productions sur les terrains caillouteux à Lodève, dans le Languedoc Roussillon.

Alors qu’on l’a pris pour un fou pendant des années, ses résultats font l’objet d’études scientifiques depuis une dizaine d’années. Les résultats de ces recherches ont débouché sur la création de groupes d’agriculteurs qui s’échangent des semences de céréales paysannes. Ces dernières bien que produisant moins restent intéressantes parce qu’elles sont résistantes aux maladies, aux intempéries, aux ravageurs… Elles se cultivent sans eau et sans herbicide! De surcroît, elles s’adaptent  mieux aux variations climatiques. Découvrez cela sur le reportage de FR2 ICI.

Des reportages qui donnent envie de pratiquer

De fil en aiguille, nous commençons à dévorer livres et vidéos sur Youtube. Nous découvrons le travail de Sepp Holzer, Philppe Forrer, Bill Mollison, Pierre RabhiBonita Ford et Sébastien Bacharac. Sans oublier le verger de Stefan Sobkowiak, et en Belgique, les Fraternités ouvrières de Moucron.

Nous mettons directement en application les principes de base de la permaculture à savoir l’observation du site, la couverture du sol, le retour au sol des détritus, on ne retourne plus le sol… Ayant découvert la chaine Youtube de “La graine indocile”, avec Damien Dekarz, nous décidons de participer à un stage d’une semaine dans le Var! Nous avons découvert aussi le jardin de Damien, dit le Jardin du paresseux.

Nous voyons partout germer des initiatives qui nous incitent à jardiner, à découvrir une plus grande variété de comestibles et à les partager. Connaissez-vous les Incroyables comestibles? Savez-vous qu’à Bruxelles, on cojardine? “En partageant nos jardins, la ville se cultive”. De nouvelles idées jaillissent.  Nous observons par exemple les pelouses des terrains communaux en ville et nous rêvons d’y mettre des comestibles.

En résumé, qu’est-ce que la permaculture?

La permaculture est moins un ensemble de techniques qu’une démarche globale d’observation, de réflexion, de conception et de création. C’est une autre conception de la vie humaine et sociale, respectueuse de la nature. La permaculture est plus un esprit, une philosophie, une façon d’appliquer les grands principes de respect de la terre et de ses habitants qu’un ensemble de techniques à appliquer.

Cependant, la créativité et les initiatives que la permaculture suscitent créent des passions contagieuses…. Nous avons envie d’apprendre à mieux connaître et respecter la vie du sol, la biodiversité, la terre et l’humain. De surcroît, nous voulons  intégrer les nouvelles techniques de jardinage issues de ce courant.

Un moyen, pas un but

Toutefois, la permaculture n’est pas un but en soi, mais un moyen. Nous observons qu’il y a finalement autant de permacultures que de permaculteurs!   Ainsi, la permaculture est à la source d’initiatives qui divergent selon les régions, les climats, les objectifs de ceux qui en font. Il y a cependant des règles incontournables, comme celle de renoncer au bêchage.

Ni une religion

Ne faisons pas de la permaculture une nouvelle mode, une nouvelle église! Pas question de rejeter systématiquement les techniques des anciens. Mettons simplement la permaculture au service d’un réseau de jardiniers et de maraîchers afin de soutenir leur motivation.

A ce propos, je voudrais raconter une anecdote.

Marie qui m’avait entendu parler de permaculture a commencé à harceler son mari jardinier, Léon, pour qu’il applique ces nouvelles méthodes. Ce dernier qui jardinait depuis plus de 50 ans ne l’écoutait pas, ce qui  l’agaçait royalement. On peut le comprendre puisque Marie appréciait les légumes mais pas le travail de jardin auquel elle ne s’était jamais intéressée. Marie se lamentait et portait un regard qui pouvait devenir méprisant sur cet homme têtu qui ne voulait pas l’entendre.

Nous avons rencontré Léon dans un tout autre contexte. Il a parlé de son jardin, des associations de culture, de son compost, de ses recettes naturelles pour soigner les maladies ou lutter contre l’invasion de  nuisibles. Certes, il retournait encore la terre sur une petite profondeur…ce qui choquait Marie! Mais il récoltait une variété de légumes qui lui une autonomie sur ce plan et il partageait avec ses enfants et ses voisins. Nous n’avons rien à apprendre à Léon. Ce serait plutôt à lui de nous transmettre le fruit de ses expériences!

Des jardiniers et maraîchers passionnés, c’est aussi près de chez nous…

En 2014, 2015  nous avons visité de nombreux jardiniers et maraîchers dont Christelle Herbage, Joël Soyer, Philippe Jakubczyk et Daniel Limbourg , Mathieu Nicolas qui travaillait à l’époque à l’Ortie Culture et qui cultive à présent les Jardins de la Ramée sur sol vivant et couvert. C’est à Cul-des-Sarts…

Tous nous ont donné beaucoup de leur temps pour partager leur passion, leurs espoirs, leurs réussites mais aussi leurs échecs. Nous avons beaucoup appris en leur compagnie. Fin septembre 2015, nous avons suivi une formation gratuite sur les légumes d’hiver et la préparation du jardin pour le printemps prochain avec Marie qui débutait le maraîchage sur la ferme “Champignol”. Ingénieur agronome, elle n’est pas formée pour ce métier, mais elle apprend sur le tas, avec les livres et les conseils de collègues. Nous avons apprécié son enthousiasme, sa passion, sa générosité…

Depuis 2016, de nombreux jeunes s’installent

La ferme de la Naïe, la famille Briquet qui cultive des fraises, des pommes de terre et d’autres légumes depuis des années ont terminé leur conversion en Bio fin 2018. Cyrille Guiot, après avoir cultivé un an à Sivry s’installe à Presgaux sur la Ferme du Tchapia. Il est un des coopérateurs et producteurs de la Botte Paysanne. Matthieu Nicolas et sa compagne Magdaléna, son frère et un ami cultivent  Les jardins de la Ramée. Corenthin Rouneau a fondé “Le jardin des deux rivières”. Philippe Genêt, paysan boulanger est renommé pour la qualité de son pain.  Je ne peux évidemment pas tous les citer car de nouveaux s’installent chaque année. Je vous parle de ceux qui nous ont guidé dans  leur  jardin ou leur terre et nous ont fait découvrir des plantes, des techniques, des installations originales et astucieuses.

Pour soutenir cet élan, deux marchés de producteurs locaux se développent, l‘un à Nismes, l’autre à Virelles.

Les leçons de notre expérience sur le terrain

Nous avons expérimenté différentes techniques en vue de motiver des personnes même faibles ou fragiles à cultiver leur jardin et nous avons ouvert le jardin pour montrer le résultat.

Pour être francs, nous avons beaucoup perdu en “rendement” si nous comparons avec les récoltes obtenues par Frank et Francine qui jardinaient sans produits chimiques mais en bêchant. L’équilibre est difficile à trouver. Comme nous habitons près d’un bois, nous avons même eu des visiteurs très gourmands: deux biches, un lièvre… Nous ne sommes pas autonomes, loin de là. Nous sommes passés du “Il n’y a qu’à” à une attitude plus humble. Il y a du travail.

Et c’est aussi la conclusion à laquelle nous sommes arrivés en visitant les jardins des deux youtubeurs, Damien et Didier. Contrairement à ce qu’on dit, il y a du travail. D’accord, ils le font avec passion et c’est plus de l’attention que du travail physique, mais il y a du travail!

La présentation de la permaculture comme source d’abondance facile est nuisible. Ceux qui ne jardinent pas sous estiment la quantité de travail et le savoir-faire des maraîchers! De là à trouver qu’ils exagèrent dans leurs prix, il n’y a qu’un pas!

Une nouvelle piste: la place des plantes sauvages

Les formations au Centre Ethonobotanique de Virelles nous ont permis de mieux connaître les plantes comestibles, très parfumées, au goût les plus divers et qui se reproduisent seules. Nous avons voulu apprivoiser ces plantes, les observer et leur donner une place. Chacune a son rôle dans la chaîne alimentaire et pour la survie des espèces. De plus, ces plantes sont particulièrement riches sur le plan alimentaire. Quels que soient les aléas de la météo, été trop pluvieux comme en 2016 ou trop sec comme en 2018, elles sont là. Nous en avons même introduit. Nous en avons répertorié plus de 40 espèces.

Vers une plus grande autonomie alimentaire

Partis de notre réflexion sur l’autonomie alimentaire de nos régions, nous avons pris connaissance aussi du projet de  « ceinture aliment terre » à Liège (et en réflexion à Ath, Louvain-La-Neuve, Bruxelles, Charleroi). Ce projet est différent puisqu’il vise à développer l’agriculture bio professionnelle, mais le mode de réflexion sur les habitudes des consommateurs et la manière d’amener à faire coïncider les offres et les demandes est très intéressante. Leur objectif: couvrir 70% de toute l’alimentation de 1000 familles dans la région liégeoise en 2020. La monnaie locale “Le valeureux” soutiendra ce circuit court.

Nous avons aussi rencontré Benoît Dave, cofondateur de “Paysans Artisans“, une coopérative qui débutait dans la région de Namur. C’est d’ailleurs avec lui que nous avons perçu à quel point le métier de maraîcher était difficile: difficulté d’accès à la terre, nombreuses heures de travail… Aujourd’hui, nous sommes impressionnés et admiratifs devant le travail accompli par cette équipe de bénévoles en  à peine quatre ans. Le projet a en effet pris une belle ampleur! Voyez par vous-mêmes ici!

Enfin, au cours d’un petit voyage en Alsace au cours duquel nous avions visité le Jardin du Paresseux, nous nous sommes rendus à Ungersheim où nous avons eu le plaisir et l’honneur de rencontrer Jean-Claude Mensh, le maire. Cet homme passionné et engagé a fait de sa petite ville un modèle de ville en transition comme vous pourrez le voir ICI mais aussi dans le film de Marie-Monique Robin“Qu’est-ce qu’on attend?”

Nous avons profité d’être dans la région pour découvrir deux initiatives intéressantes. La première, “Coeur Paysans”, un ancien Lidl, racheté par 35 paysans où vous trouvez les produits de 42 producteurs locaux vendus par ces mêmes producteurs. La deuxième, une association qui ouvre un restaurant avec une cuisine de qualité à base de produits locaux et bios à un prix défiant toute concurrence: Les Sheds, dans une petite ville près de Mulhouse.

Quand la permaculture devient une mode pour les riches

De nombreuses personnes sont motivées par un projet global : développer une manière de vivre respectueuse de la terre et de l’humain. D’autres cependant surfent sur cette vague pour s’enrichir. Ils nous font notamment payer très cher la transmission des connaissances qu’ils n’ont même pas toujours expérimentées! Ne défigurent-ils pas la démarche permaculturelle en la marchandisant? Le tarif pour la visite du jardin et les formations dites certifiante est parfois particulièrement élevé et inaccessible pour le plus grand nombre. On peut même parfois se demander si la transmission de savoirs ne leur rapporte pas plus que la terre et si cette dernière n’est finalement pas qu’une vitrine. Difficile d’amorcer un changement en profondeur de notre mode de vivre, de passer de l’individualisme à la solidarité et au sens de la communauté, de l’appât du bien et du goût de la possession à la simplicité volontaire…

Du rêve à la concrétisation dans le “Jardin de Francine”

Parallèlement à cette recherche d’informations, nous avons donc expérimenté les principes de la permaculture sur notre terrain. Avec Réfl’Actions nous nous inscrivons dans ce courant permaculturel.

Nous introduisons les techniques de permaculture dans le “Jardin de Francine” et nous l’ouvrons gratuitement aux visiteurs afin de leur faire profiter de nos expériences. En 2018, nous avons créé une marre et nous nous sommes concentrés sur les plantes sauvages. Partout où nous le pouvons, nous tentons de créer des liens, de mettre les personnes en relations. En partenariat avec les Amis de la terre, nous participons au groupe des “Partageurs de graines”.

Notre rêve: créer un réseau d’entraide, des chantiers collectifs pour la  mise en route des jardins, des échanges terrain/légumes, des échanges de récoltes, de plants…

Notre rêve au départ était principalement d’inciter un maximum de personnes à cultiver leur jardin, à développer leur passion, à en faire pour certains une activité complémentaire et pourquoi pas un réel emploi. De la sorte, nous pourrions assurer une grande partie des besoins alimentaires des habitants de la région-  et pourquoi pas des touristes – avec des produits locaux !

Mais nous sommes loin du compte! C’est très compliqué! Nous nous sommes engagés dans le MAP (mouvement d’Action Paysanne) pour notamment promouvoir leur Charte.

Pratiquement, nous testons les méthodes dans le jardin et nous organisons

  • rencontres de producteurs locaux, de personnes désireuses d’avancer vers la décroissance et la transition
  • visites de jardin pour personnes isolées pour pour groupes sur rendez-vous par mail: marieberthe.ranwet(a)yahoo.fr
  • portes ouvertes: 3-4 octobre 2015, 26 juin 2016, 4 septembre 2016, 18 juin 2017, 9 juillet 2017, 20 août 2017…
  • rencontres sur le terrain: 17/4/2016 Brocante de Couvin – Parking Aldi
  • réunions de jardiniers, de producteurs
  • conférence, rencontre producteurs-consommateurs à Baileux 3/10/2017
  • Partage de semences et de plant

Plus d’infos sur les événements? C’est ICI

Envie de débuter un jardin?

N’hésitez pas à nous laisser un message pour une visite ou des conseils sur marieberthe.ranwet(a)yahoo.fr ou au 060378403!

La permaculture humaine

La permaculture, nous l’avons vu, dépasse largement les techniques de jardinage qui l’ont rendu célèbre. Il concerne aussi bien d’autres domaines comme l’habitat et l’humain.

En tant que psychologue, j’applique ses principes dans ma pratique. J’invite mes clients à observer sans jugement leur vie, leurs problèmes présents, leur milieu de vie…. et à  accepter cette réalité unique. Chaque élément (événement, situation, personne…) répond à plusieurs besoins et chaque besoin peut trouver réponses avec différentes “choses”.

Pour comprendre la différence de point de vue, je vous invite à découvrir les articles de ce site et les articles sur le site de psy-efficace.

 

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